Publications

  • Avant propos du livre ; L’enfant abandonné, Guide des troubles de l’attachement par P.N. Rygaard aux éditions De Boeck, 2005
  • Jeunesse et transversalité – Rapport d’un GT à la demande de l’AWIPH, administration en charge des Jeunes présentant des « troubles caractériels » 2007 . cfr lucfouarge.com
  • « Jeunes et transversalités » in Confluences n° 20, aout 2008, Revue de l’IWSM, Namur.
  • « Une équipe faîtière, l’autre fait tiers » In Confluences n°24, Juin 2010
  • « Jeunes incasables » Préface du Dossier in Confluences n°26, Juin 2011
  • « Histoires d’IMP 140 » in Revue 140 n° 1, Bxl
  • « Les « 140 » ébranlent le mythe institutionnel » in Revue 140 n°10, décembre 2010.
  • « Une grille d’intensité de soutien spécifique » in Revue 140, n°17 d’avril 2016
  • Participation à Approche des troubles du spectre DE L’AUTISME – Repères et bonnes pratiques à l’attention des professionnels
  • https://youtu.be/t5sXfbeg8Xk  « Si tu m’aides, ne m’aimes pas »   conférence ENSSYCOFA
  • Conversation avec Vincent Cespedes, Philosophehttps://youtu.be/VCGuw81yXe8

ARAGON – Nouvelle éditée chez Théma en 2005

Disponible chez « Molière » à Charleroi à la « Librairie du Berceau » à Thuin et à « l’Arbre à Feuilles » à Landelies.

http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20130515_00310833&fb_action_ids=4975920762370&fb_action_types=og.recommends&fb_source=aggregation&fb_aggregation_id=288381481237582

Melissa Colignon : Je l’ai lu! Un paquet de sentiments drôlement bien décrits, des héros qu’on ne peut s’empêcher d’aimer et une plume qui tient le lecteur.. Super, Luc!

Serge Vandenheemel : Superbe ! Je l’ai lu d’une traite. Toute la sensibilité de l’auteur trouve là sa maturité dans l’écriture. J’ai été touché par la sincérité de la narration où le héros nous fait part de ses questions existentielles sur son rapport à l’autre, à l’amour et au sens de la vie. Une nouvelle qui m’a beaucoup ému par son propos et par le style littéraire de l’auteur. Aragon peut être fier

Claire Derhain :  En retournant la dernière page, j’ai eu le sentiment d’avoir enfin appris à comprendre….la peinture!!! Curieuse réaction? Non.  Comme l’artiste qui sait forcer un trait avec subtilité pour donner la petite touche d’âme, la pudeur de tes mots ne fait qu’en accentuer la profondeur et la sensibilité.  Des associations et des combinatoires surprenantes, questionnantes, qui méritent d’être relues et de s’y attarder…  S’il te plait, une autre encore….

Daphné Lambert : dans le groupe FB La vie est un roman » Une terrasse, un thé, des platanes, les gens,… Je me suis laissée emportée, emmenée par le bras… Cette nouvelle signée par Luc Fouarge m’a emmenée avec tendresse sur un chemin de vie comme un léger souffle, une expiration… A vous d’y goûter!

Pascale Masquelier :     C’est la rencontre improbable de 2 personnes coincées dans leur propre histoire,… lui, compliqué, englué dans ses questionnements, dans ses réflexions sur la vision qu’il a des autres, dans sa solitude, dans sa lâcheté, …, elle, en apparence légère, mais qui porte un lourd fardeau à l’intérieur…  C’est l’histoire de hasards…hasard de la rencontre …10 min, hors du temps, qui vont transformer 2 inconnus en 2 intimes…hasard de la grand-mère, qui lui révèle sans pudeur, sans que lui le demande, la souffrance de toute une vie, de toute une famille…grand-mère qui le pousse vers un rôle de sauveur, …    C’est la rencontre simple et naturelle de 2 êtres complexes dans la tête pour lui, et dans sa maladie pour elle. Et tout s’emboîte, entre-eux, comme s’il s’agissait de vieilles connaissances.  Elle, pourtant condamnée à mourir, va lui donner la vie, le droit de vivre.  Et c’est elle finalement qui le sauvera.  Histoire émouvante et touchante écrite d’une façon fluide, qui laisse à la fin un sentiment de tristesse et d’espoir.

Chantal Ponthieu: j’ai lu, je ne respire plus, je n’ai envie de rien dire, juste de rester là à penser…merci pour ce bon moment.

Catherine Peeters: je me suis laissée porter par ta plume. Comme si elle était suspendue dans l’air, je l’ai suivie sans trop savoir où elle m’emmenerait. Quand on a le nez en l’air, on remarque les nuages ici la maladie a pris tout son sens. Puis un vent doux et elle virevolte comme cette lueur d’espoir. Mais la plume finit toujours par retomber… et c’est la mort, une mort apparente seulement. Merci Luc

Un SMS : J’ai lu la nouvelle de Luc Fouarge. »J’ai le coeur au bord des yeux ».

Francis T: …Je viens de le relire et cette fois il m’a beaucoup plu: poésie, style délicat…

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