Il y a dans ta tête des voix qui se font entendre, tu apprends à couper le son, à faire taire celle de tes parents, pas les vrais, ceux que tu cultives dans ta tête et qui te limitent…, c’est toi qui le fais… Si tu allais marcher dans la nature, les bois, les campagnes sans trop chercher à découvrir si elle est belle… en laissant la nature te révéler combien tu l’es.
…. comme sur les chemins de St Jacques… pour te découvrir dans ta capacité de t’accueillir, toi, tes émotions, les plus désagréables aussi, celles dont « on » te disait que tu devais les réfréner.
Et, cesser de lutter, c’est épuisant et inutile, mais plutôt développer cette compassion pour les conneries que tu as ingérées, bien malgré toi : » tu as fait avec ce que tu pouvais à cet âge ou tu n’avais pas encore cessé de désirer, avant tout, de leur plaire…, à plaire à tes parents que tu as construits dans ta tête. L.F.